Le seawatching, l’art d’observer les oiseaux de mer

Le seawatching (parfois traduit «guet à la mer») est une discipline de l’ornithologie qui consiste à observer, depuis la côte, la migration marine des oiseaux. Il s’agit, pour beaucoup, d’espèces terrestres (canards, labbes, limicoles, passereaux…) ou côtières (Mouette tridactyle, Fou de Bassan, alcidés…), mais aussi, et ce sont généralement les plus attendues, pélagiques (puffins, océanites, albatros…). Notons que l’observation de ces dernières peut aussi se faire en pleine mer depuis un bateau, que ce soit dans le cadre de sorties pélagiques spécialement organisées pour les ornithos ou à l’occasion d’une traversée maritime sur un ferry. Mais je m’en tiendrai ici à l’aspect côtier du seawatching, en expliquant où, quand et comment pratiquer cette activité dans les meilleures conditions.
La voie de migration marine de l’océan Atlantique
Une étude très récente (Morten et al. 2025) a mis en évidence l’existence de voies de migration marines régulières, empruntées au printemps et à l’automne par les oiseaux pélagiques. À l’échelle mondiale, il en existe six, réparties dans l’océan Atlantique, dans l’océan Indien nord, dans l’océan Indien est, dans le Pacifique ouest, dans le Pacifique et dans l’océan Austral (fig. 1).

Dans l’Atlantique, l’étude a révélé trois groupes (clusters) de routes migratoires majeures (fig. 2), qui, combinées, dessinent une voie océanique en forme de huit (une boucle par hémisphère), calquée sur les principaux courants marins poussés par le vent. Tous les oiseaux de mer nichant sur les côtes orientales des Amériques, sur les côtes d’Europe occidentale et de Méditerranée, sur la côte ouest de l’Afrique et dans les îles subantarctiques suivent cette voie migratoire de l’océan Atlantique.
C’est le cluster A (fig. 2A) qui intéresse les côtes européennes ; après avoir rejoint le centre de l’Atlantique Nord, les oiseaux qui empruntent cette route longent en effet l’Europe occidentale puis traversent l’Atlantique occidental au sud de l’équateur jusqu’à la côte brésilienne. Le cluster B suit une trajectoire circulaire, depuis le courant des Canaries jusqu’au Brésil, puis vers l’est, jusqu’aux eaux côtières de l’Afrique australe (fig. 2B). Et dans l’ouest de l’océan Atlantique, le cluster C est une route principalement côtière, où les oiseaux marins migrateurs transitent le long de la côte est des Amériques, entre l’Argentine et le Canada (fig. 2C).

Où, quand et comment seawatcher ?
Où aller ? – En Europe occidentale, l’essentiel du passage migratoire saisonnier des oiseaux marins a lieu dans l’Atlantique, via en grande partie la mer du Nord et la Manche. En Méditerranée, les mouvements d’oiseaux pélagiques sont moins spectaculaires, car ils concernent un nombre plus limité d’espèces, qui se déplacent de surcroît le plus souvent loin du littoral, excepté bien sûr au niveau des détroits (Gibraltar, Bosphore, Messine…). C’est donc vers les côtes occidentales – principalement entre la frontière belge et l’estuaire de la Loire – qu’il faudra se diriger pour une séance de seawatching.
Où s’installer ? – On peut faire du seawatching en de nombreux endroits, mais il est indispensable de choisir une côte rocheuse, afin de trouver un point d’observation dominant la mer. Celui-ci doit offrir un champ de vision le plus large possible sur l’océan (au moins 180°) et être situé à une certaine hauteur (5-10 m environ) au-dessus de la mer. Mais il ne doit toutefois pas être trop élevé, au risque de ne pas repérer les oiseaux volant au ras de l’eau ou entre les vagues. À l’inverse, les littoraux sableux et les plages ne permettent pas d’avoir un horizon lointain, et lorsqu’il y a de la houle, les oiseaux posés sur l’eau ou volant dans les creux ne sont pas visibles. Cependant, il est possible de seawatcher si les dunes bordant le littoral sont suffisamment hautes.
L’autre condition topographique est de s’installer soit au bord d’un bras de mer plus étroit, où le flux d’oiseaux migrateurs est obligé de se rapprocher de la côte (par exemple au niveau d’un cap), soit sur un point du littoral qui s’avance dans l’océan (une presqu’île ou une pointe) ; le choix d’une île reculée, comme Ouessant, Sein ou Hoëdic, augmente encore les chances de succès. Les meilleurs sites de seawatching coïncident donc naturellement avec l’emplacement des phares et des sémaphores, comme au cap Gris-Nez, à Gatteville, à Brignogan ou à Ouessant (Créac’h). De même, les jetées portuaires qui pénètrent loin en mer (digues d’Antifer, du Clipon, de Calais, de Tarnos…) sont parfaitement adaptées également, mais elles peuvent s’avérer périlleuses lorsque la mer est démontée (c’est-à-dire lorsque les conditions sont idéales pour le seawatching…) ; cela explique sans doute que leur accès soit de plus en plus souvent limité ou même interdit.

Quand faire du seawatching ? – Le seawatching se pratique principalement à l’automne au moment de la migration postnuptiale, soit globalement de la mi-août aux premiers jours de décembre, avec une période optimale en septembre et octobre. En fin d’automne et en hiver, c’est-à-dire de novembre à février, des conditions météorologiques exceptionnelles peuvent également justifier une séance de seawatching : ainsi, d’importants effectifs d’oiseaux qui hivernent habituellement au large dans l’Atlantique peuvent être déportés sur les côtes par une puissante tempête d’ouest (voir p. ex. Blat et al. 2023, Dubois & Duquet 2009 et 2024, Aymí et al. 2011, Yésou 2019) ; de même, en plein hiver, une vague de froid polaire descendant sur l’Europe poussera vers le sud, principalement dans la Manche, les oiseaux qui stationnent d’ordinaire en mer du Nord.

Au printemps, la remontée vers le nord de la plupart des espèces pélagiques qui sont passées à l’automne près des côtes européennes s’effectue par une route migratoire plus occidentale, plus proche de l’Amérique du Nord que de l’Europe (voir l’exemple de la Sterne arctique ; fig. 3). De la même façon, les espèces de l’hémisphère Sud qui viennent passer l’hiver austral (qui correspond à notre été) dans l’Atlantique Nord remontent le long des côtes nord-américaines au printemps et redescendent au large des côtes européennes à l’automne (exemple du Labbe de McCormick ; fig. 4). L’existence d’une véritable voie de migration marine de l’océan Atlantique en forme de huit (fig. 1), décrite récemment (Morten et al. 2025), explique que la pratique du seawatching soit surtout productive à l’automne, et ait moins d’intérêt au printemps.

En vert : migration postnuptiale (août-novembre) ; en rouge : aire d’hivernage (décembre-mars) ; en jaune : migration prénuptiale (avril-mai).

En bleu : zones de stationnement internuptial (mai-août) ; en vert : migration postnuptiale (mars-avril) ; en rouge : migration prénuptiale (septembre-octobre)
et zones d’attente terminales. Les encarts montrent les points de géolocalisation enregistrés dans l’Atlantique (a) et le Pacifique (b).
Cependant, un site comme le cap Gris-Nez fait exception et s’avère également intéressant pour suivre le passage prénuptial, car le détroit du Pas de Calais (= Dover Strait) concentre le flux migratoire et rapproche les oiseaux de la côte. Cette migration se déroule de mi-février à fin mai, avec une diversité maximale en avril, mais elle concerne moins d’individus et moins d’espèces qu’à l’automne (Caloin 2015), et les conditions d’observation y sont moins favorables, compte tenu de la topographie du site (Flohart 1995). En février, le début de la migration prénuptiale est marqué par les premiers vols de Bernaches cravants, suivis des alcidés, des plongeons et des canards, dont le passage s’estompe à la fin avril, tandis que le mois de mai se caractérise par d’importants mouvements de sternes et de limicoles.

Prendre en compte la météo – En premier lieu, il convient d’évaluer les conditions météorologiques les plus propices au passage migratoire sur un site donné et d’envisager une séance de seawatching en fonction de celles-ci. Par la direction et la force du vent qu’elles induisent, les masses d’air océaniques ont en effet une influence majeure sur la localisation et l’intensité des flux migratoires. Un vent soutenu soufflant en direction des côtes a ainsi pour effet de rapprocher les oiseaux pélagiques de celles-ci, ce qui les rend plus visibles depuis le rivage. En automne, le noroît des Bretons, un vent marin de nord-ouest, est donc considéré comme idéal pour la pratique du seawatching (sur des côtes exposées à l’ouest), mais selon l’orientation de la côte, des vents de nord à nord-est (côtes exposées au nord) ou d’ouest à sud-ouest (côtes exposées au sud) peuvent également être favorables. Il s’agit de prendre en compte les conditions météorologiques globales (à l’échelle de l’Atlantique Nord) les jours précédents et les conditions de vent locales le jour-même. L’analyse régulière des cartes météorologiques et l’expérience acquise sur le terrain au fil des années permettent d’anticiper un éventuel passage lors d’une session de seawatching, mais fort heureusement, ce n’est pas une science exacte et une part importante reste dédiée au hasard et à la chance. Dans les grandes lignes, on connaît les conditions nécessaires à un passage massif d’oiseaux pélagiques en automne : ainsi, entre la fin août et la mi-novembre, un changement de direction des vents de l’Atlantique vers la mer du Nord, combiné à un front froid descendant du nord et à des vents de nord-ouest puissants balayant toute la mer du Nord jusqu’au détroit du Pas-de-Calais, produira à coup sûr un passage important du cap Gris-Nez vers la Manche. À la pointe bretonne, en octobre, ce sont surtout les fortes tempêtes d’ouest-nord-ouest qui engendreront un afflux d’oiseaux pélagiques le long des côtes d’Ouessant et de la pointe du Finistère. Un peu plus au sud, en fonction de l’orientation de la côte, ce sont des vents de sud-ouest qui pousseront les oiseaux pélagiques vers le rivage.
Mais les conditions météorologiques propices au seawatching ont un revers non négligeable : si un vent fort déporte puffins et autres oiseaux marins près de la côte, dans le même temps, il perturbe fortement la stabilité des longues-vues et s’accompagne souvent d’averses qui gênent l’observation. Dans la mesure où une séance de seawatching peut durer plusieurs heures, il est donc indispensable d’anticiper ces désagréments et pour cela, il faut s’installer confortablement et s’équiper de façon adéquate.
Ne pas négliger son confort – Pour ne pas être contraint à l’abandon en pleine séance de seawatching, parce qu’on est mal assis, qu’on a mal aux fesses ou au dos, qu’on a froid ou qu’on est trempé… il ne faut rien négliger et prendre le temps de bien s’installer. Prévoir des chaussures et des vêtements imperméables et suffisamment chauds (ou un simple coupe-vent si la température n’est pas trop fraîche) est essentiel. On peut juste s’adosser à un rocher abrité du vent et offrant une large vue sur la mer, mais prévoir une assise imperméable n’est pas un luxe superflu ; certains préféreront même utiliser un siège de camping bas. Une bouteille thermos avec une boisson chaude (thé ou café) pourra aussi permettre de mieux résister au mauvais temps. Et surtout n’oubliez pas d’emporter un ou deux chiffons doux pour essuyer périodiquement les lentilles des jumelles et de la longue-vue.

Où et comment regarder ? – Pour repérer les oiseaux marins, il y a trois zones à inspecter attentivement : le ciel (car certains oiseaux, comme les plongeons, certains labbes ou les sternes, migrent assez haut au-dessus de la mer), l’horizon (c’est-à-dire une étroite bande horizontale de mer et de ciel) et la surface de l’océan (les vagues et les creux). Dès lors, deux techniques d’observations s’offrent à vous :
• La première repose sur l’observation de ces trois zones à l’œil nu pour détecter un mouvement ; puis dès qu’un oiseau est repéré, attraper ses jumelles sans le quitter des yeux (c’est important pour ne pas le perdre !) afin de l’observer et de le détailler ; s’il est loin, difficile à identifier ou qu’il semble intéressant, utiliser une longue-vue (fixée sur un trépied le plus stable possible). Il est à noter que c’est tout de même à la longue-vue que se pratique l’essentiel du seawatching.
• La seconde méthode, utilisée par les puristes, consiste à se concentrer sur un petit bout de l’horizon, tout en amont du flux migratoire, et à attendre sans bouger qu’un oiseau passe dans le champ des jumelles ou de la longue-vue, puis de le suivre aussi longtemps que possible pour l’identifier ; balayer l’horizon de droite à gauche est beaucoup moins efficace, car on rate ainsi de nombreux oiseaux, qu’on ne détecte pas car ils passent trop vite dans le champ de vision ou qui disparaissent dans un creux ou dans le ciel au moment où on les croise.
Quelle que soit la méthode adoptée, il faut passer plus de temps à scruter la mer que le ciel, car certains oiseaux marins volant au ras de l’eau, apparaissent et disparaissent au gré des vagues (idéalement 1/3 de ciel et 2/3 de mer). Si l’on observe avec une longue-vue, s’entraîner à garder les deux yeux ouverts permet d’une part de ne pas fatiguer l’œil qui serait normalement fermé et d’autre part augmente les chances de repérer des oiseaux passant hors du champ de la longue-vue.
Autre matériel utile – Un appareil photo avec un zoom puissant ou un téléphone permettant de faire de la digiscopie peut s’avérer primordial pour obtenir des images d’un oiseau rare ou difficile à identifier sur le terrain.
De même, un guide d’identification peut être utile, mais il est préférable d’étudier au préalable les critères d’identification des espèces susceptibles d’être vues (la liste n’est pas très longue) ; Le guide ornitho (L. Svensson, K. Mullarney & D. Zetterström, 2023, Delachaux et Niestlé) fournit l’essentiel de ce dont on a besoin pour une séance de seawatching sur les côtes françaises, et des ouvrages tels que Flight identification of European Seabirds (A. Blomdahl, B. Breife & N. Holmström, 2007, Helm), Seabirds, The New Identification Guide (P. Harrison, M. Perrow & H. Larsson, 2021, Lynx Edicions) ou Guide photo des oiseaux marins du monde (S. Howell, 2021, Delachaux et Niestlé) procurent des compléments utiles.
En cas de doute ou si un oiseau n’a pas pu être identifié, en faire une description précise permettra peut-être de l’identifier a posteriori ; celle-ci peut être faite par écrit (idéalement avec un dessin de l’oiseau) ou enregistrée sur un dictaphone ou un téléphone. Dans l’idéal, une photo est toujours préférable, mais les conditions d’observation du seawatching permettent rarement de photographier correctement les oiseaux de mer…
Au-delà de l’identification, il est également utile de dénombrer les oiseaux observés et de prendre des notes à intervalles réguliers (généralement par tranche horaire). Un compteur à main (ou plusieurs soudés entre eux ou fixés sur une planchette) permet de «cliquer» à chaque fois que l’espèce est vue, sans avoir à quitter des yeux l’horizon, puis de noter les totaux obtenus en fin de séance.
Le seawatching est plus productif et plus agréable quand il est pratiqué à plusieurs observateurs. Cela permet en effet non seulement de ne rater quasiment aucun oiseau, mais aussi de confronter les observations et d’aboutir à des identifications plus sûres, ou encore de se répartir le comptage des différentes espèces.


Les espèces visibles en seawatching
Sur les côtes atlantiques françaises, les espèces pélagiques visibles en seawatching sont le Fou de Bassan, les Puffins des Anglais, des Baléares et fuligineux, le Fulmar boréal, les Mouettes pygmée et tridactyle, les Sternes caugek, naine, pierregarin et arctique, la Guifette noire, le Grand Labbe, les Labbes parasite et pomarin, le Pingouin torda et le Guillemot de Troïl.
Parmi les espèces moins fréquentes, citons les Puffins cendré et majeur, les Océanites tempête et culblanc, la Mouette de Sabine, le Labbe à longue queue, le Phalarope à bec large, le Macareux moine. D’autres plus rares incluent les Puffins yelkouans et de Scopoli, l’Océanite de Wilson, le Labbe de McCormick, le Mergule nain et un éventuel albatros ou un pétrel de type « gongon ».
À ces oiseaux marins s’ajoutent les Grèbes huppé et jougris, les Plongeons imbrin (surtout en Bretagne), catmarin et arctique, et un certain nombre d’Ansériformes – Bernache cravant, Tadorne de Belon, Canards siffleur, pilet et souchet, Sarcelle d’hiver, Harle huppé, Macreuses noire et brune.
En Méditerranée, la liste se limite aux Puffins des Baléares, yelkouan et de Scopoli, auxquels s’ajoutent quelques Fous de Bassan et des Sternes caugeks (et de rares Pingouins tordas en hiver), de même que des Labbes parasites et pomarins au printemps.

Références : • Aymí R., Rodriguez M. & Cama A. (2011). Influx of Kittiwakes Rissa tridactyla into Catalonia (NE Spain) in January 2009 and a review of previous records. Revista Catalana d’Ornitologia 27 : 17-24. • Blat Y., Dubois P.J. & Duquet M. (2023). Afflux d’Océanites culblancs Oceanodroma leucorhoa en France à l’automne 2022. Ornithos 30-1 : 42-50. • Caloin F. (coord.) (2015). An Overview of Migrant Marine and Coastal Birds. Synthesis and Analysis of Recent Data. Cap Ornis Baguage, Station ornithologique du cap Gris-Nez, GON, PNR Caps et Marais d’Opale. Biotope, Mèze. • Dubois P.J. & Duquet M. (2009). Joris, Klaus et la mouette blanche. Les tempêtes de janvier 2009 en France. Ornithos 16-2 : 81-89. • Dubois P.J. & Duquet M. (2024). Impact des tempêtes Ciarán et Domingos (novembre 2023) sur les oiseaux pélagiques. Ornithos 31-3 : 135-151. • Egevang C. , Stenhouse I.J., Phillips R. A., Petersen A., Fox J.W. & Silk J.R.D. (2010). Tracking of Arctic terns Sterna paradisaea reveals longest animal migration. Proc. Natl. Acad. Sci. 107(5) : 2078-2081. • Flohart G. (1995). Points-chauds : le cap Gris-Nez (Pas-de-Calais). Ornithos 2-3 : 124-127. • Kopp M., Peter H.-U., Mustafa O., Lisovski S., Ritz M., Phillips R. & Hahn S. (2011). South Polar Skuas from a single breeding population overwinter in different oceans though show similar migration patterns. Marine Ecology Progress Series 435 : 263-267. • Morten et al. (2025). Global Marine Flyways Identified for Long-Distance Migrating Seabirds From Tracking Data. Global Ecology and Biogeography 34 : e70004. • Yésou P. (2019). OrnithoScience. Tempêtes hivernales et échouages d’oiseaux marins en février 2014. Ornithos 26-5 : 244-255.
Un grand merci à mon ami Philippe J. Dubois, grand seawatcheur de son état, pour les précisions et compléments essentiels qu’il a apportés à cet article.
Citation recommandée : Duquet M. (2025). Le seawatching, l’art d’observer les oiseaux de mer. Post-Ornithos(marcduquet.com) 2 : e2025.08.09.

